Attache-moi, mais laisse-moi fumer.
Mon rigger à Toronto est l’un des rares que je laisse m’attacher.









Pas pour une question de domination.
Pas parce que je me soumets.
Mais parce qu’on a construit une pratique, un langage à deux.
C’est pas une perf, c’est une expérience.
Une session à deux, pour explorer les techniques, les sensations, les zones grises.
Et surtout, pour tripper. Juste deux bons amis qui s’embarquent dans un truc un peu bizarre, un peu beau, et surtout sincère.
C’est simple, c’est doux, c’est sérieux.
Mais —
Quand il me laisse fumer une clope pendant une pause, après deux heures en l’air, les marques fraîches sur la peau…
Disons que là, je sens une forme de contrôle tranquille.
Une dominance posée. Maîtrisée. Acceptée.
Je suis encore attaché, en bas, le souffle court,
et lui me tend mon briquet.
Tu vois l’image en bas où je suis intégralement a découvert ? Ouin c’est le contenu pour les abonnés payants 💁♂️
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